Auteur : Mongi Mamlouk

Les chirurgies de hanches et de genoux sont à la fois une source d’espoir et d’anxiété. D’un côté, on espère qu’elles répareront définitivement nos douleurs chroniques et nous redonneront la mobilité dont nous avons besoins. D’un autre côté, la réhabilitation suivant la chirurgie elle-même peut sembler être un obstacle imposant. Normalement, votre spécialiste de la santé devrait être en mesure de bien vous informer sur les tenants et aboutissants de votre chirurgie. Une fois de retour à la maison pour votre convalescence, il vous faudra une liste d’articles d’aide à la mobilité, d’aides à l’hygiène personnelle et d’aides à la vie quotidienne. Prenez un temps pour considérer vos besoins et préparez-vous à l’avance, question de ne pas être obligé de magasiner ces articles à la dernière minute. 

Cannes, marchettes, et autres solutions de mobilité 

Suite à une chirurgie de la hanche ou du genou, vous ne pourrez pas marcher normalement avant quelques semaines. Bien que votre rétablissement devrait être assez rapide, vous aurez besoin d’une marchette pour vous déplacer dans votre domicile. Un cadre de marche est une solution simple et solide sur laquelle vous pourrez vous appuyer en marchant. Équipée de roues et de patins, la marchette vous permet de décharger votre jambe blessée en attendant qu’elle ne guérisse. Par la suite, une canne accomplira la même fonction une fois votre jambe suffisamment rétablie pour vous y appuyer partiellement.

Prenez bien soins de vérifier les obstacles présents dans votre domicile. Par exemple, vous ne pourrez probablement pas monter et descendre des escaliers durant les premiers jours de votre convalescence. Conséquemment, il est possible que vous n’ayez pas facilement accès à votre lit ou votre salle de bain.  Dans ces cas, la location d’un lit d’hôpital et l’acquisition d’une chaise d’aisance vous permettra de dormir et de vous soulager sans risquer les escaliers.  

Pinces à long manche, enfiles-bas et autres solutions d’habillage 

En convalescence vous serez peut-être à la maison, mais vous aurez encore besoin de vous habiller. Spécifiquement dans les cas de chirurgies de la hanche, il sera primordial d’éviter de vous pencher ou de remonter vos genoux vers votre torse. Pour enfiler des chaussettes et des pantalons, ainsi que pour mettre des chaussures, il vous faudra des outils. Les pinces à long manche sont des outils polyvalents qui peuvent servir autant à cueillir des objets au sol que pour s’aider à s’habiller. Les enfiles-bas servent, vous l’aurez deviné, à enfiler des bas. En plaçant la chaussette sur le réceptacle de l’enfile-bas, il est possible de par la suite le tirer par les cordelettes en poussant le pieds dans son ouverture pour dérouler le bas sur son pied. De nombreuses langues à chaussures, ou chausse-pieds existent aussi, vous permettant de mettre confortablement vous souliers sans aggraver votre blessure. 

Sièges de toilettes, brosses à long manche et autres solutions d’hygiène 

Une convalescence de chirurgie de hanche ou de genou peut prendre quelques semaines. Bien que principalement au repos, vous aurez besoin de vous laver et d’utiliser votre toilette. Même si vous utilisez une chaise d’aisance pour les premiers jours suivant votre opération, vous pourrez rapidement vous déplacer suffisamment rapidement pour utiliser votre toilette. Que ce soit pour une opération de la hanche ou du genou, un siège surélevé et des appuis sécuritaires de toilette vous seront très utiles. Toutefois, pour le rétablissement de la hanche, puisqu’il est primordial que votre genou ne monte pas plus haut que la hanche lorsque vous serez assis, un siège de toilette surélevé sera une nécessité. Pour le rétablissement du genou, des appuis sécuritaires vous permettront de vous relever en minimisant le poids sur votre genou.

Pour ce qui est de vous laver, vous ne pourrez pas rester debout très longtemps sous la douche en équilibre sur un seul pied. Un tabouret de douche ajusté à la bonne hauteur vous permettra de vous laver sans risquer de chute due à la fatigue ou la douleur causée par votre chirurgie. Un tapis anti-dérapant est aussi un accessoire préventif utile, car une vilaine chute dans la douche serait désastreuse. Pour la baignoire, comme vous ne pourrez pas vous relever sécuritairement du fond, il vous faudra un banc de bain. Grâce à ce dernier, vous pourrez vous laver à la débarbouillette ou avec une douche téléphone, confortablement assis sur un banc qui facilitera votre lever et sorite du la baignoire. 

Finalement, il existe toute une gamme de produits pour faciliter votre convalescence suite à une chirurgie de la hanche ou au genou. Prenez le temps de réfléchir à vos besoins de mobilité, d’habillage et d’hygiène avant votre opération. De cette façon, vous serez en mesure d’anticiper les défis à affronter lors de votre convalescence. Vous pouvez aussi venir nous visiter chez Équipements Adaptés MCL, où nous pourrons vous aider à choisir les bons outils pour vos besoins particuliers. 

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De toutes les pièces d’une maison, la salle de bain est facilement l’endroit le plus dangereux dans la vie de tous les jours. La plus fringante des personnes risque de se blesser gravement suite à une vilaine chute dans la douche ou la baignoire. Trop souvent, une blessure de ce type dégrade dramatiquement la vie d’une personne âgée de façon irréversible. Une mauvaise fracture de la hanche ou du fémur mène tristement à une perte d’autonomie qui nécessite souvent des soins trop importants pour permettre le maintien à domicile. La prévention est votre meilleure option. 

Commençons par la baignoire. Ce grand réservoir d’eau, source apaisante de confort et de propreté peut facilement se transformer en piège pour qui a une mobilité limitée. Tout d’abord, ses environs et son fond sont glissants lorsque mouillés. Ensuite, le rebord de la baignoire peut s’avérer périlleux à enjamber. Finalement, il peut être ardu de se relever d’une position couchée pour s’en extirper sécuritairement.  

Comment adapter les environs d’une baignoire ?

Les environs d’une baignoire peuvent être sécurisés à l’aide de poignées d’appuis de différentes longueurs. Mais où doit-on les placer pour favoriser la sécurité de la personne prenant son bain ou sa douche ? La réponse peut sembler banale, mais c’est pourtant aussi simple : placez les barres pour qu’elles soient faciles à agripper. Généralement, on place une barre verticale à la hauteur du coude vis-à-vis le côté du bain. Une deuxième barre murale est souvent placée sur le mur opposé au point d’entrée de la baignoire. Cette barre peut être placée horizontalement ou encore en diagonale pour en faciliter les angles de préhension. Dans tous les cas, une barre murale bien positionnée vous permettra de vous tenir fermement lors de vos déplacements à l’intérieur et autour de la baignoire. De plus, en cas de chute, elles vous permettront peut-être de vous rattraper, limitant les blessures. 

Toutefois, les meilleures barres murales sont vissées au mur. Bien que des barres à ventouses existent, elles ne sont utiles que pour sécuriser l’équilibre de l’usager, pas pour supporter le poids entier d’une personne. Il est probable que, lors d’une chute, une barre à ventouses décolle au moment même où vous vous y agrippiez.  

Comment enjamber une baignoire en toute sécurité ?

Le moment le plus risqué dans l’utilisation d’un bain est probablement l’instant où vous enjambez le côté de la baignoire. En équilibre sur un seul pied déposé sur l’intérieur en acrylique mouillé de la baignoire, il est prudent d’avoir un endroit pour s’agripper. Une barre d’appui murale peut accomplir cette fonction, tout comme une poignée de bain. Dépendamment de la configuration de votre baignoire, il est possible de fixer la poignée de bain directement sur le rebord de votre baignoire. Une telle poignée vous donne un excellent appui pour enjamber le bain, tout en vous évitant de percer les murs pour installer une barre murale. 

Il est aussi possible d’éviter complètement d’enjamber la baignoire à l’aide d’une planche de bain ou d’un banc de transfert. La planche de bain se dépose directement sur le rebord de la baignoire, et y est fixée. Le banc de transfert est un banc sur pattes dont la moitié est à l’extérieur du bain. Ces deux options vous offrent la possibilité de vous asseoir de l’extérieur du bain, puis de vous glisser à l’intérieur. 

Comment se relever d’un bain sans risque ?

Pour minimiser les difficultés liées au fait de se lever dans la baignoire, quelques options s’offrent à nous. Tout d’abord, on peut simplement éviter de s’asseoir complètement au fond du bain. Avec un banc de bain sur pattes, vous serez assis confortablement à une hauteur favorisant le lever. L’inconvénient de ce type de banc est évidemment que vous n’êtes pas immergé dans la baignoire. Sur un tel banc de bain, il faudra se laver à l’éponge ou avec une douche téléphone.  

Une chaise de bain élévatrice est un banc de bain avec un moteur conçu pour vous descendre et vous remonter du fond de la baignoire. Activée avec une manette, vous contrôlerez la descente du siège jusqu’à vous immerger au fond du bain. En pesant sur un bouton, vous serez remontée à la hauteur du côté de la baignoire pour vous permettre de vous en lever. Le rabats sur le côté du siège permettent de se transférer comme avec une planche de bain. Ces chaises élévatrices sont bien plus dispendieuses que les bancs de bain sur pattes, mais pour un maintien à domicile à long-terme, elles en valent le coût. 

Finalement, il se présente à vous toute une panoplie d’options pour adapter votre baignoire et votre salle de bain pour réduire le risque de chute. Grâce à tous ces moyens de sécurités, vous pourrez protéger votre autonomie et votre santé dans le confort de votre foyer plus longtemps.  

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Quoi de plus plaisant qu’une promenade au parc ? Le soleil sur la peau et le vent dans les cheveux, on peut admirer les charmants paysages et profiter d’air frais. Mais en avançant en âge, il est possible que nos jambes ne nous permettent pas de marcher sur de longues distances. Un déambulateur est l’outil parfait pour ce genre de situations. Dotés de quatre roues et d’un siège, il permet de se reposer lorsque la fatigue s’installe. Outre les aspects du déambulateur lui-même, il faut considérer attentivement la manière dont on l’utilise. Son ajustement, son utilisation et son entretien sont tous des facteurs à considérer pour choisir un déambulateur adapté à nos besoins. 

Comment ajuster un déambulateur ?

Pour bien profiter d’un déambulateur, il faut qu’il soit confortable. Pour assurer son confort, le déambulateur doit être adéquatement ajusté selon votre taille. Évidemment, il n’y a pas deux personnes parfaitement identiques, et aucune formule n’est parfaite pour tous. Mais tous peuvent trouver leur confort en suivant quelques étapes.  

Tout d’abord, les poignées doivent être à la bonne hauteur. Si les poignées sont trop basses, on aura tendance à se pencher pour s’appuyer, ou encore à avoir les coudes en hyperextension. Si les poignées sont trop hautes, on aura tendance à pousser le déambulateur comme un panier, signifiant qu’il ne nous supportera pas. Il est aussi possible que les bras soient trop pliés, ce qui repousse inconfortablement les épaules vers le haut. Normalement, on ajuste les poignées du déambulateur en se plaçant, le dos droit et le regard à l’horizon, les bras le long du corps. Les poignées doivent atteindre l’os du poignet, là où se trouverait le bracelet de montre. 

Comment marcher avec un déambulateur ? 

Une fois le déambulateur bien ajusté, il suffit de mettre un pied devant l’autre, non ? Pas tout-à-fait. 

Pour aider à garder une bonne posture en marchant avec un déambulateur, il est important que garder les poignées près des hanches. Cela nous permet de nous appuyer solidement en cas de perte d’équilibre. De plus, si l’on garde les poignées trop loin en avant de nous, il est possible que le déambulateur glisse sur le sol, même avec les freins engagés. Finalement, tenir les poignées trop loin tend à nous faire courber le dos, ce qui en plus d’être inconfortable, peut mener à des complications posturales. 

Outre le positionnement du déambulateur, il faut faire attention à l’endroit où l’on marche. Un déambulateur est approprié pour les surfaces extérieures aménagées pour la marche. Que ce soit un trottoir en ciment, un sentier en terre compactée ou un chemin asphalté, le déambulateur vous servira bien. Toutefois, sur du gazon, du sable, du gravier souple et la neige, vous aurez beaucoup de difficulté à vous déplacer. 

Comment entretenir son déambulateur ? 

Avec un peu de chance, vous serez en mesure de profiter pleinement de vos sorties pédestres assez souvent pour qu’éventuellement, vous usiez votre déambulateur. Généralement, les freins seront les premiers à se désajuster. Typiquement fait d’acier, les câble finissent par s’étirer à force d’être utilisés. Lorsque cela se produit, les freins ne se bloquent plus de façon sécuritaire. On peut souvent les resserrer à l’aide des boulons d’ajustement près des roues. Ensuite, surtout si vous sortez durant l’hiver, les paliers de roues se remplissent de détritus et rouillent. Lorsque cela se produit, vous sentirez une résistance dans une roue en particulier, et le déambulateur tendra à tourner d’un côté.  

 Il ne suffit donc pas d’acheter n’importe quel déambulateur pour vous offrir stabilité et confort lors de vos sorties au magasin ou en promenades au parc. Il faut prendre le temps de bien utiliser son outil d’aide à la marche pour nous offrir Mobilité, Confort et Liberté. Chez Équipements Adaptés MCL, nous savons qu’un déambulateur est plus que sa fiche technique et son prix. C’est pourquoi nous prenons le temps de bien montrer aux gens comment utiliser au mieux leurs déambulateurs, et que nous l’ajusterons pour vous. Pour toutes réparations que vous ne saurez faire vous-même, il nous fera grand plaisir de vous aider grâce à notre atelier sur place. 

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Avec le printemps qui se présente, il commence à être temps de considérer sortir de son cocon hivernal pour profiter à nouveau du beau temps et du plein air. Toutefois, il est possible que notre condition de santé ne nous permette pas d’aller marcher au parc, ou de sortir dans les centres commerciaux. S’il nous est impossible de marcher sur de longues distances, un véhicule d’aide à la mobilité est un excellent outil pour nous permettre de sortir à nouveau.

 Les quadriporteurs et triporteurs sont de merveilleux véhicules offerts en une multitude de formats pour combler la multitude de besoins particuliers, uniques à chacun. À cet effet, il peut être difficile de choisir le bon véhicule. Vous le verrez, l’aspect le plus important dans le choix d’un véhicule de mobilité est la grosseur du véhicule, qui dénote son utilité selon certains facteurs comme son rayon d’action, l’espace de conduite, et son prix. 

Où peut-on conduire un quadriporteur ? 

Les différents modèles de véhicules d’aide à la mobilité sont conçus selon l’endroit où ils doivent être utilisés. Pour la conduite intérieure, les fauteuils roulants électriques et les petits quadriporteur et triporteurs sont idéaux. Pour la conduite extérieure, on préfère généralement les quadriporteurs plus grands, qui profitent de sièges plus confortables et de meilleures suspensions. 

Les fauteuils roulants électriques sont des bases motorisées agiles et pratiques dans les espaces restreints d’un appartement. À plusieurs égards, ils comblent le même besoin qu’un fauteuil roulant manuel, et remplacent en quelque sorte vos jambes au quotidien. Les petits quadriporteurs, quant à eux, sont généralement démontables ou pliables, et sont particulièrement pratiques lorsque l’on veut les ranger dans une voiture ou conduire à l’intérieur d’un centre commercial.  

Les grands quadriporteurs sont conçus pour procurer un vaste rayon d’action et un confort pour son conducteur lors de promenades extérieures. Grâce à leurs grandes roues, suspension et sièges à dossier haut, ces quadriporteurs sont idéaux pour se promener dans les parcs ou sur les pistes cyclables et sentiers pédestres.  

Pour ceux qui devront utiliser un quadriporteur autant à l’extérieur qu’à l’intérieur, certains quadriporteurs de format intermédiaire sont offerts. Ces quadriporteurs et triporteurs sont un compromis entre les deux autres catégories. Ils ne sont pas pliables mais sont assez compacts pour les conduire à l’intérieur si les corridors ou allées sont suffisamment larges. Ils n’ont pas le rayon d’action, ni le confort des quadriporteurs de luxe, mais profitent quand même de batteries suffisantes et de suspensions capables d’adoucir la conduite sur les trottoirs. 

Comment entretenir mon quadriporteur ? 

Le format du quadriporteur va influencer de façon importante l’entretien dont il aura besoin. Les plus petits véhicules ont généralement des pneus anti-crevaison, et les batteries sont souvent détachables de la base pour les charger plus facilement. De plus, ils sont assez petits pour être rangés directement dans votre appartement sans trop en prendre de place. 

Les gros quadriporteurs nécessitent plus d’attention au quotidien. Ayant souvent des pneus gonflables, il faut s’assurer que la pression d’air y soit bonne, faute de quoi vos pneus s’userons plus rapidement. Vous irez moins loin sur votre charge, et vous risquerez une crevaison. Il faut s’assurer que les batteries sont adéquatement chargées après chaque utilisation. La grande capacité de charge des batteries ne signifie pas qu’il ne faut pas les garder pleinement chargées : Déchargées trop longtemps et elles s’endommagerons. Ultimement, ces grands véhicules prennent une place d’entreposage, soit dans un garage ou dans un cabanon prévu à cet effet. 

Combien coûte un quadriporteur ? 

Si vous souhaitez vous procurer un quadriporteur, gardez en tête que la taille du véhicule a une incidence marquée sur son prix. À l’exception des fauteuils roulants électriques, qui ont leur échelle de prix selon leurs particularités, plus un quadriporteur est gros et luxueux, plus il sera dispendieux à acheter. 

Généralement, on peut trouver un quadriporteur de petit format pour environs trois mille dollars, incluant les batteries et les accessoires obligatoires. Un quadriporteur de promenade de format intermédiaire, capable d’au moins 25 km d’autonomie, se détaille environs cinq mille dollars. Finalement, les quadriporteurs de luxe, capable de la plus grande autonomie et du plus grand confort, peuvent atteindre des prix allant jusqu’à plus de sept mille dollars. 

Comment décider ? 

Pour choisir le bon quadriporteur, il est ultimement important d’évaluer adéquatement nos besoins, ainsi que nos moyens. Chez Équipements Adaptés MCL, nous suggérons ce que nous appelons la “règle des 80-20« . Il suffit de penser à l’utilisation que vous ferez d’un quadriporteur 80 % du temps, et de choisir le véhicule le mieux adapté à cette utilisation. L’autre 20 % du temps, le véhicule sera moins pratique, mais ce compromis vous permettra d’éviter de dépenser inutilement sur l’achat d’un second véhicule. 

Dans tous les cas, il nous fera un grand plaisir de vous guider dans votre choix. N’hésitez pas à consulter les fiches descriptives des véhicules que nous offrons, et à contacter l’un de nos conseillers pour en apprendre d’avantage et vous aider à choisir!

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